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La Religion

Le Culte de l'Empereur

Le Culte de l’Empereur fondé en l’an 160 repose sur l’idée que l’Empereur Emeric I fut le seul et unique Dieu et qu’il fonda l’Empire Emerien dans le but sacré d’établir un monde parfait sous ses principes.

Cette pseudo-religion bâti par la propagande est toujours très répandu au sein de tout l’Empire et même au-delà de ses frontières.

Le Culte de l'Oeil

Le Culte de l’Oeil rendu obligatoire en l’an 273 au sein de l’Empire Emerien part du principe que le monde et l’univers tout entier repose dans la vue et la conscience immédiate d’une créature toute-puissante qui, si elle détournait son regard, briserait tous principes et entraînerait la Toute-Fin.

 

Les adeptes de cette religion font preuve de diverses pratiques, dont l’une est le sacrifice, afin de retenir l’Oeil sur eux.

Le nombre de pratiquants n’a cessé d’augmenter au cours des ans jusqu’à quasiment effacer les religions les plus minimes du continent.

 

Aujourd’hui, l’Oeil contrôle une grande part de la société et nul ne sait vraiment qui sont ses dirigeants.

Le Culte du Volcan

Parmi les Prarims nombreux sont ceux qui vénèrent le Volcan-Foyer comme une divinité d’une bonté infinie leur fournissant à la fois un foyer, une protection et la vie.

 

Le Volcan-Foyer est le premier volcan apparu sur le monde sous le nom de Shaar-Gath, ses enfants (les autres volcans) sont une infime part de ce dernier et sont de ce fait vénérés également.

Lors de leurs cérémonies, les Prarims nomment leur lieu de vie en prenant soin d’ajouter le suffixe -Gath afin de rappeler la paternité divine de Shaar-Gath.

Le Culte du Grand-Écorné

Parmi les Waraboucs, une légende est transmise à travers les générations.

 

“En les cendres de la Terre-Mère vint au monde l'ancêtre de tous les Waraboucs; plus grand, plus fort et plus grandiose que tout-autre. Ses cheveux étaient d’argent, ses sabots de fer, ses crocs et ses griffes de cristal et ses cornes, immenses, étaient faite de la pierre sur laquelle repose le monde.

Un jour, alors qu’il parcourait le désert sans-fin de la Terre-Mère, il découvrit une pierre sur laquelle ruisselaient un mince ruisseau d’une eau luisante comme le soleil.

Intrigué par cette source, le Père s’assit et la contempla durant des centaines et des centaines de cycles.

Un matin, alors qu’il somnolait une créature infernale s’approcha du Père et fut subjugué par la beauté si simple de ses cornes. Le félon s’empara de la pierre la plus tranchante qu’il pût trouver et l'enfonça dans le coeur du Premier-Warabouc qui s'effondra.

 

C’est alors que l’impie se mit à l’oeuvre pour arracher les rameaux de pierre. Au bout de huit jours et huit nuits, il réussit à retirer celui de droite qui s’écrasa au sol. Le sang du Warabouc se mit à déferler sur les cendres entourant son corps. Peu après, le profanateur arracha la seconde corne qui s’écrasa elle aussi.

La besogne accomplie, l’assassin voulu s’enfuir avec son butin mais ce dernier fut si lourd qu’il l’abandonna.

La terre se fendit sous les cornes et le sang du Warabouc se mit à remplir le trou créé. Huit jours et huit nuits plus tard, des deux cornes plongées dans le lac de sang du Grand-Écorné naquirent les deux premiers Waraboucs qui donnèrent naissance à tous les autres.”

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